En passant par « La rue des livres », petit festival du livre rennais sans grande consommation de champagne ni de petits fours, sans grands tambours et sans grandes trompettes, mais qui, d’année en année prend une tournure fort simple et sympathique, j’ai écouté Sorj Chaladon, tapé la causette avec Vélibor Colic, pour les oeuvres duquel les habitué(e)s de mes modestes pages connaissent mon espèce d’attachement indeffectible et irrationnel, je l’avoue, et je suis passée dans une librairie. Et non, je n’ai rien acheté sur le salon, ce sera sans doute pour demain, et peut-être même, « Le quatrième mur », et pourtant je viens de loin concernant cet auteur …. ( dans le genre préjugés que je vais même peut-être me fendre d’un méa culpa)
Les nouveaux arrivés sur mon étagère des pas encore lus où il n’y avait plus qu’une vingtaine de titres dont certains sont dessus depuis deux ans, mais que ce n’étaient pas cela que j’avais envie envie de lire en ce moment, sont :
« Des noeuds d’acier » de Sandrine Collette, parce que il en est dit trop de bien du deuxième pour que que je ne lise pas le premier.
« Lady Susan » de Jane Austen, parce que Jane Austen ne risque pas d’être sur un salon littéraire, et donc qu’on ne peut pas être de mauvaise foi. Et que « Orgueil et préjugés », c’est quand même du grand.
« Enfants de poussière » de Craig Jonson, parce que depuis que je suis tombée amoureuse de Walt Longmire, quasiment en en même temps que d’Angustus, je frémis à l’idée qu’il pourrait lui arriver quelque chose, et que, comme pour le Zébulon de « Faillir être flingué« , je me sens une âme maternelle pour ces grands bébés-héros pas finis.
« Mai en autommne » de Chantal Creusot, parce que ce que cela faisait un fichtre de temps que j’avais envie de lire ce titre.
« Les liens du sang » de Thomas H. Cook, parce que depuis que j’ai lu « Au lieu dit du noir étang » sur les conseils de Margotte, je veux absolument tout tout tout tout tout tout lire de cet auteur.
« Les sortilèges du cap Cod » de Richard Russo, parce que depuis que tout le monde me donne envie de lire cet auteur, il fallait bien que je me décide ( j’ai pris le plus mince)
« Epépé » de Ferenc Karinthy, parce que Kathel en dit du bien et que je croyais que comme d’hab, j’allais devoir attendre que ce titre sorte en poche, et que non, il était en poche. Et que Perec en caution et Carrère en préface, je ne peux que jubiler d’avance.
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