Je continue à promener mon portable avec l’anti enquête de Cerno.
Cerno, sillonne le XVIIIème arrondissement de Paris sur les traces des victimes de Thierry Paulin et de Jean Thierry Mathurin, les tueurs de vieilles dames dont les meurtres commencent en 1984. Mais Cerno ne part pas à la recherche de l’horreur et du sordide, mais à la recherche de la mémoire, ces petites mémoires, que ces petites dames ont peut-être encore laissé, dans leur immeuble au coin de la rue.
Et c’est surtout l’occasion pour lui de faire des rencontres et de laisser parler les gardiens d’immeuble, les voisins, qui ne savent rien, les vieilles acariâtres, le coiffeur de la rue Lepic … Cerno boit un café, échange un prénom, un coin de vie, dessine un quartier, des solitudes …
Il enregistre leur parler, leur silence, leurs rires, leurs peurs, leurs regrets ou pas … Et entre chien et loup ( c’est l’heure où je peux marcher) dans le quartier voisin, une sorte de friche urbaine où mon Pérec aurait passé des heures à arpenter l’espèce d’espace, je les entends. Ils me font du bien. Et quelques vieilles dames ne sont plus des fantômes.
https://podtail.com/fr/podcast/cerno/
Merci Julien, merci mon amie Anne pour ce petit trésor !!!!
Et dès que j’ai terminé tous les épisodes, je files écouter les histoires de Sandrine de Tête de lecture.
Contente que ça te plaise autant que ça m’a plu !
J’aimeJ’aime
Contente que ça te plaise autant que ça m’a plu !
J’aimeJ’aime
Je rentre tout juste d’une écoute de trois épisodes, je viens de découvrir la papeterie sociale de la rue Fernot, encore un régal !
J’aimeJ’aime
Te voilà accro à ton portable, mais pour une bonne raison.
J’aimeJ’aime
En fait, je n’ai le temps de me promener que le samedi et le dimanche, ce qui me fait deux heures d’addiction par semaine … Alors, ça va … ^-^
J’aimeAimé par 1 personne