Je découvre avec ce titre, la collection "Une nuit au musée" dont le principe est de planter un écrivain dans un lieu clos empli d'histoires pour qu'il en raconte une : exercice de style de double fond assez tordu pour me donner envie de voir ce que cela pouvait donner, surtout quand il se déroule... Lire la Suite →
Blanc, SylvainTesson
J'ai beau adorer ce vilain gosse prétentieux, ce bad boy moralisateur, cette fois-ci, c'est un trop plein de bavardages, bien écrits, charmeurs, bien balancés, mais des bavardages saupoudrés quand même ... La blancheur du paysage rejoint celle du propos et hélas, non l'altitude des sommets, mais la profondeur des crevasses. Donc Tesson est reparti en... Lire la Suite →
V 13, Emmanuel Carrère
La couverture annonce le genre, chronique judiciaire. Exit donc le Carrère nombriliste, voire exhibitionniste qui peut sortir par les chakras de certains, mais, en ce qui me concerne me nourrit toujours de quelque chose qui m'échappe. Ce texte, composé de très courts chapitres, notations de moments, je l'ai lu quasiment d'une traite, m'arrêtant de temps... Lire la Suite →
Sous les pavés, les pages, récapitulatif
Edo, New York, Paris, Londres, mais aussi Amiens, et l'imaginaire Bandalore, entre ville et urbanités, nous avons aussi déniché quelques pavés entre ville et campagne, exploré des espaces et des sociologies cachées dans des coins, des utopies tombées par terre, des bernaches des villes, des errances poétiques, d'autres qui grattent le ciel ... Le thème... Lire la Suite →
Journal de nage, Chantal Thomas
Ce journal est composé de quatre parties disparates dont l'unité est cependant assurée par le recours aux circonvolutions, à sauts et à gambades, dirait le Montaigne. La première partie est une évocation du premier confinement, avec comme fil littéraire le journal de Kafka et son goût pour le chlore des piscines. Car de nage, il... Lire la Suite →
Gros oeuvre, Joy Sorman
Ce texte est constitué de quinze récits autour du théme de l'habitation, évoquant des expériences véridiques ou imaginaires, individuelles ou collectives, étranges, décalées. L'autrice interpelle de temps en temps le Jean Jacques, celui qui conspuait la propriété. Elle invite à investir les friches urbaines, à s'y installer dans des modules jetables, préfabriqués, vante le nomadisme... Lire la Suite →
Commentaires récents