Un macaron collé sur la couverture annonce un "poing de point, un "livre dont on ne sort pas indemne". Et voilà encore une promesse non tenue, parce qu'indemne je le suis, de même qu'agacée par les gros sabots de cette écriture dite " à cru", "à sec", "au ventre" ou je ne sais encore mais... Lire la Suite →
Peau d’homme, Hubert et Zanzin
Dans une Florence de la Renaissance, revisitée mais reconnaissable par les références aux artistes, à un certain art de vivre, et à la réincarnation de Savanarole, une vraie jeune fille de bonne famille attend la fin des transactions nécessaires à son futur mariage. Elle devait épouser le père d'une autre bonne famille et finalement, elle... Lire la Suite →
Maurice, E.M Forster
Au début du XXème siècle, dans une Angleterre guindée, Maurice ne sait pas ce qui cloche chez lui avec les normes et les codes de la virilité, mais, comme tous les adolescents appartenant à la bourgeoisie établie, son horizon se doit d'être le mariage et sa consommation pudique, l'établissement social d'une famille et l'équilibre du... Lire la Suite →
De purs hommes, Mohamed Mbougar Sarr
Ndéné Gueye a été un professeur de lettres engagé dans son université de Dakar. Il a voulu secouer la poussière de l'enseignement de littérature comparée, remplacer les pontes de la littérature française du XIX ème siècle par du sang neuf, des voix contemporaines qui causeraient un peu plus de l'ici et maintenant du Sénégal. Trois... Lire la Suite →
J’entends des regards que vous croyez muets, Arnaud Cathrine
L'auteur se définit comme un voleur, un voleur de l'histoire de certaines personnes qu'il croise, dans la rue, les transports, sur les plages. En réalité, il ne leur vole rien, il brode une histoire autour d'un geste, d'un regard, du titre d'un livre, d'un chemisier un peu éliminé, d'une réplique qui ne lui était pas... Lire la Suite →
Siréna Séléna, Mayra Santos-Febres
Bienvenu dans le monde des shows en play back, des paillettes, du glamour, des folles, des gays, des drag-queens flamboyantes des bouges de Porto Rico, où se mettent en scène les corps refaits, marqués par la misère des bas fonds. Les fards sont épais, masquant les poils honnis qui sans pitié les renvoient au genre... Lire la Suite →
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