Valentin est le super héros de ce polar historique qui plonge dans les entrailles du début du règne de Louis Philippe. Enquêteur à la brigade des moeurs, il a un visage d'ange et un sombre (très sombre) passé, la justice chevillée au coeur et un coeur bien meurtri. Obsédé par un super méchant, le vicaire,... Lire la Suite →
Chroniques d’une station service, Alexandre Labruffe
Une station service, dit le narrateur, pompiste philosophe, sociologue et un peu perché, est le lieu du début de l'aventure des possibles. "Passage obligé des gangsters, des fuyards, elle est le pivot du récit des marges". Et le fait est que cinématographiquement parlant, cette ode à la station service n'est pas sans convoquer un imaginaire... Lire la Suite →
Plus bas dans la vallée, Ron Rash
"Plus bas dans la vallée" est le titre de la première nouvelle de ce recueil et on y retrouve la veuve sanglante, l'héroïne du roman éponyme, Séréna. Moi, Séréna, je ne peut pas la piffer. C'est même le seul roman de Ron Rash que je n'ai pas aimé. Ne me demandez pas pourquoi, je n'en... Lire la Suite →
Le silence et la colère, Pierre Lemaitre
Et revoilà la famille Pelletier ! Bouboule (Jean) l'aîné toujours aussi pusillanime, Geneviève, sa femme, couleuvre vipérine, guette sa proie lovée dans son fauteuil. François, amoureux d'une mystérieuse Nine, kleptomane alcoolique, se voit voler sa promotion au journal par sa propre soeur Hélène ... Il se remet de sa déception en ressortant l'affaire de Mary... Lire la Suite →
Le royaume désuni, Jonathan Coe
La famille Lamb vit dans un petit écrin de chocolat anglais, Bournville, ainsi nommée pour faire chic. L'image de la marque Caadbury est en-deça de celle des chocolatiers européens, dont la composition moins grasse des produits donnera lieu bien plus tard dans le récit, à un épisode satirique délicieux. Bournville a été construite selon les... Lire la Suite →
Blanc, SylvainTesson
J'ai beau adorer ce vilain gosse prétentieux, ce bad boy moralisateur, cette fois-ci, c'est un trop plein de bavardages, bien écrits, charmeurs, bien balancés, mais des bavardages saupoudrés quand même ... La blancheur du paysage rejoint celle du propos et hélas, non l'altitude des sommets, mais la profondeur des crevasses. Donc Tesson est reparti en... Lire la Suite →
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