Un excellent bouquin, un coup de coeur de tendresse, j'ai eu presque le coeur serré en lisant deux ou trois pages avant la fin : " C'est presque fini. Presque terminé. Il ne me reste plus que deux ou trois bricoles à vous montrer avant que votre Gardien accomplisse son devoir cosmique et se retire... Lire la Suite →
Séréna, Ron Rash
Années 30, USA, crise financière, les patrons ont tous les droits et en usent en en abusant, une exploitation forestière, des ouvriers remplaçables, un projet de réserve naturelle, des expropriations rentables, enfin, pour certains. Georges, le patron, il ramène de Boston, fraîchement marié, sa femme, Séréna, qui n'a peur de rien ni de personne, évalue la coupe de... Lire la Suite →
Louise Erdrich for ever
Avec mes copines, on est allées voir Louise Erdrich (sauf une qui avait soit disant oublié, alors que je la soupçonne fortement d'être restée chez elle pour plier le linge de sa pile, pour laquelle elle semble avoir une affection toute particulière). Les deux autres étaient à l'heure mais pas dans la bonne file pour... Lire la Suite →
Lonesome dove, Larry McMurthy
Mais où est passée ma conscience politique pendant cette lecture ? Sous l'ombre des cactus ? Sous la selle d'un cheval ? Dans les remous du Rio Grande ? C'est honteux, tu me fais honte, disait le séraphin de la cause juste, perché derrière la Athalie lectrice plongée dans les aventures westerniennes de tueurs d'indiens... Lire la Suite →
Le diable tout le temps, Donald Ray Pollock
J'ai croisé mon ami Jack dans les croisées du salon du livre d'"Etonnants voyageurs". Mon ami Jack ( ce n'est pas un surnom, c'est son nom) est très, très grand, ce qui fait qu'on ne le loupe pas, même dans un salon du livre bondé. Il m'a lancé : "Va voir le Pollock, c'est du... Lire la Suite →
La carte du monde invisible, Tash Aw
Ce roman fut présenté comme "à l'origine d'une littérature du post-colonialisme", je pensais donc avoir à faire à une sorte de fresque historique, plus historique que fresque. Finalement, l'histoire est bien là mais par petits morceaux et que le vitriol post-colonialisme est un peu trop dilué à mon goût.
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