Catherine Beauvais, dite Cateau la borgnesse, est marquée par une laideur hors norme, un visage grimaçant, un corps difforme. Et comme elle est née dans dans le première partie du XVII ème siècle, sa laideur est associée au diabolique. Ce fut pourtant une sorte de miracle si ses parents ne s'en débarrassèrent pas à peine... Lire la Suite →
Appels téléphoniques, Roberto Bolaño
Je découvre cet auteur majeur de la littérature sud américaine par ce modeste recueil de nouvelles qui toutes mettent en scène un personnage d'écrivain. Je ne sais pas si elles sont autobiographiques, mais il semble qu'elles rentrent en résonnance avec le parcours d'écriture et d'exil de l'auteur. Le narrateur est d'ailleurs souvent un écrivain en... Lire la Suite →
Le château des rentiers, Agnès Desarthes
Le château des rentiers est le nom de la rue où les grands parents de l'autrice, ont, sur le tard, acheté un petit deux pièces, avec balcon. Boris et Tsilla Jampolsi, immigrés juifs, sont venus en France dans les années trente. Lui est le second mari de la "petite grand mère", le premier n'est pas... Lire la Suite →
Veiller sur elle, Jean Baptiste Andréa
Mimo va mourir, il est très vieux, et depuis très longtemps hôte d'une abbaye, la Sacra, qui abrite depuis quarante ans la dernière de ses œuvres, une piéta, mise à l'index par le Vatican car elle provoquerait des désirs impies, des désirs obscurs et malséants. Mimo, c'est Michelangelo Vitaliani, né en France, né nain, orphelin... Lire la Suite →
Norilsk, Caryl Ferey
L'auteur de polars qui déteste le froid, s'est cependant laissé convaincre par deux jeunes éditrices de partir pour une dizaine de jours vers le grand nord, à 300 kilomètres du cercle polaire. Norilsk, la ville la plus polluée de la planète, avec des températures dont les moins sont tellement en dessous de zéro que cela... Lire la Suite →
Le portrait de mariage, Maggie O Farrell
Lucrèce de Médicis n'aurait jamais du épouser Alphonso de Ferrare. Maria, sa sœur ainée était celle qui était prévue pour sceller l'alliance entre les deux puissances de la Renaissance italienne. Mais Maria est morte, alors c'est à Lucrèce de se couler dans la robe bleue et flamme conçue pour sa sœur. Ni sa mère, Eléonore,... Lire la Suite →
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